Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Incipit

Welcome ! Bienvenue à ma remise personnelle des oscars et des gérards du cinéma mondial ! Vous trouverez ici des strass, du people, des paillettes, du mousseux, des spots, du bodyguard, mais surtout et par dessus tout : du partage !

Alors dévalez le tapis rouge à toute vitesse et venez lire, apprécier et commenter les critiques cinématographiques de ce blog ! Thank you !

 

 <<Le cinéma, c’est l’écriture moderne dont l’encre est la lumière.>>

Recherche

Script

"Vous connaissez ma femme ? Elle est belle hein ?" Le chef, RRRrrrr !!!

 

« Ecoute Bernard... J’crois que toi et moi, on a un peu le même problème ; c’est qu’on peut pas vraiment tout miser sur notre physique, surtout toi. Alors si je peux me permettre de te donner un conseil, c’est oublies qu’t’as aucune chance, vas-y, fonce ! On sait jamais, sur un malentendu ça peut marcher... " Gilbert, Les bronzés font du ski.

 

  "J’adore l’odeur du Napalm au petit matin " Apocalypse now.

   

"- Vous voulez terminer comme ces poulets ? Vous voulez mourir Bramard ? Décapité, vidé, plumé, c’est ça qu’vous voulez ?
  - Si c’est pour garder mes poules, oui !"OSS 117.

 

"Plutôt que l'amour, que l'argent, que la foi, que la célébrité, que la justice... donnez-moi la vérité" Into the wild.


L'écologie tend à combler le fossé que l'industrie a creusé entre l'homme et les animaux.

Je compense le carbone de mon blog avec les Petits gestes écolos de bonial.fr
29 mars 2013 5 29 /03 /mars /2013 10:44

Réalisateur : Jonathan LEVINE

 

Acteurs : Nicholas HOULT, Rob CORRDRY, Teresa PALMER ...

 

Sortie : 20 mars 2013

 

Genre : Comédie Romantique

 

Durée : 1h37

 

Nationalité : Américain

 

 

Synopsis :


R, un mort-vivant romantique, sauve contre toute attente Julie, une adorable survivante, et la protège de la voracité de ses compagnons. Au fil des jours, la jeune femme réveille chez lui des sentiments oubliés depuis longtemps…

 

 


Dur retour sur Terre avec ce film qui décidément ne restera pas dans les annales du film de zombie !

 

  Et pourtant comme c'était bien parti, avant même le début de la séance, sur le papier, tout était réuni pour faire de "Warm Bodies" un bon film, révolutionnant le genre zombie avec un discours à la 1ère personne du mort-vivant ! Incongru ? Certes mais terriblement efficace pour attirer des spectateurs (tels que moi) à la recherche de renouveau dans le cinéma. Finalement, le film est tombé dans tous les pièges ou presque.


           A commencer par le plus gros obstacle à la réussite d'un film : le scénario. L'idée de base a beau être à elle seule géniale, l'histoire qui a été filé autour est affligeante de... Pas de platitude, parce qu'il y a des rebondissements, mais de convenance. Sans vouloir spoiler qui que ce soit, il est convenu que ça se finit bien, qu'il ne reste pas zombie et que la fille ne lui tire pas dans la tête. Il est aussi convenu que chaque zombie va tout faire pour aider "R" dans sa quête, alors qu'à bien y regarder il ne mérite pas tant de sacrifices.

 


          Les dialogues sont trop faciles, certaines répliques font mouche mais la plupart coulent à pic car ne font qu'énoncer ce que l'on sait déjà. Trop de blabla inutile, on aurait préféré quelque chose d'un peu plus mort, pour un film de zombie. Mort dans le sens où on aurait apprécié plus de mystère, de réflexion, de tourmente, et non pas une simple amourette adolescente entre un zombie et une jeune fille (encore une fois, c'est une bonne idée de base, mais ça ne suffit pas du tout). Dans ce film en l'occurence, c'est l'humour qui est mort. (tragique pour une comédie)


          L'acteur principal (Nicolas HOULT) est sympa, vraiment bon par moment même, mais il a eu le malheur d'avoir du donner la réplique à une certaine Teresa Palmer, que je ne connaissais pas mais qui m'a tout simplement dégouté de toute envie de la connaitre. Pendant la moitié de la projection j'étais persuadé qu'il s'agissait de Kristen Stewart, tant elles ont toutes deux la particularité de ne connaitre qu'une seule expression du visage... Vous savez avec la bouche à moitié béante et les yeux à moitié perdus dans le brouillard (un peu comme cela :http://fond-d-ecran-gratuit.org/photos/Kristen-Stewart-twilight-300x300.jpg)... Pour une prestation au final plus qu'à moitié vide.

 

La Bande original est sympathique. (point)

 

Les 10 premières minutes sont tout de même très agréables, mais elles l'auraient été beaucoup plus je pense si elles n'étaient pas déjà dans la bande annonce du film. C'est ce que l'on appelle gâcher ses seules munitions. (Headshot)

 

 

Enfin voilà ne cassez pas votre tirelire spéciale crise pour aller voir ce film... Personnellement je prends les paris que dans 1 ans sortira un deuxième opus. (Règles et conditions de jeu à retrouver sur la page facebook du blog, ici : https://www.facebook.com/FautLeVoirPourLeCroire?ref=ts&fref=ts)

 

Notation :

 

TOTAL (/20)   9.5
Originalité / Scénario (/5)   2.5
Acteurs / Interprétation (/5)   2.5
Message véhiculé / Thèmes / Ambiance (/5)

   1.5

Photographie (décors, images, musique...) (/5)

   3

 

 

Bande-annonce :

 

 


 
Partager cet article
Repost0
6 janvier 2013 7 06 /01 /janvier /2013 21:00

Réalisateur  : Clément Michel

Acteurs : Raphael Personnaz, Charlotte le Bon, Jérôme Commandeur...

Sortie : 2 janvier 2013

Genre : Comédie

Nationalité : Française

Durée : 1h30

 

 

 

Un très bon casting (Julie Ferrier, Charlotte Le Bon, Jérôme Commandeur...) qui ne suffit pas à rattraper une comédie qui arrive aisément à nous faire sourire, mais qui ne parvient qu'à de rares moments à nous pousser à faire "ha ha ha" (ou "hu lu lu" pour ceux qui rient ainsi).


Le timing n'est pas génial non plus, le film démarre en fanfare... Mais au point d'arriver en avance, car il faut le dire : En 5 minutes on a placé le couvert, il ne reste plus qu'à manger avant que ça ne refroidisse !... Et ça refroidit en plus ! Le film traine en longueur, et la fin très sympathique n'est qu'un réchauffage au micro-onde ne suffisant pas à redonner au plat sa saveur perdue.


On sort de table le ventre plein, le sourire au lèvre (par politesse ?), mais on n'est pas non plus pressé de revenir s'asseoir à cette table.

 

Néanmoins, étant le premier long-métrage du réalisateur Clément Michel, le film mérite la moyenne !

 

 

TOTAL (/20)   10
Originalité / Scénario (/5)   2
Acteurs / Interprétation (/5)   4
Message véhiculé / Thèmes / Ambiance (/5)
  2
Photographie (décors, images, musique...) (/5)

  2

 

 

Bande-annonce :

 

 


 
Partager cet article
Repost0
14 octobre 2012 7 14 /10 /octobre /2012 16:37

Réalisateur : Jason Reitman

 

Avec : Ellen Page, Michael Cera, Jennifer Garner, Jason Batemon...

 

Année : 2007

 

Genre : Comédie-Drame

 

Nationalité : Américain

 

Durée : 1h30

 

Mots clés : Frais, Touchant, Appaisant, Plaisant, Amusant.

               Un film calme, sympa, "fin", à ne pas regarder si c'est juste pour s'amuser un moment entre amis, mais plutôt à savourer seul, quand l'envie nous vient de passer une après-midi ou une soirée posée, à penser à autre chose que son petit monde...

 

               C'est sur le thème de l'adolescence et de l'enfantement que porte ce film, Juno, le troisième long-métrage de Jason Reitman (après "Thank you for smoking" et "In god we trust"), réalisateur que je découvre donc pour la première fois et qui est loin de me décevoir !

Partant d'une idée de base assez simple : Une jeune américaine de 16 ans (nommée Juno), perdue dans sa vie, mais aussi fringante que peut l'être une "semi-femme" de cet âge là, qui par "hasard" tombe enceinte. Concept basique, devenant une histoire envoutante, vibrante d'émotion, pleine de vérités et de rêves : une histoire écrite par Diablo Cody (scénariste)

 

               Ellen Page, jeune actrice que l'on a rencontré il y a peu dans Inception, nous emporte et nous transporte dans son interprétation flamboyante de Juno, rôle à la fois simple et atypique, tant la comédienne nous rend son personnage fascinant. A la fois sure d'elle-même et en proie aux doutes des adolescent(e)s; à la fois heureuse de ce qui lui arrive, tourmentée par moments, et tellement détachée de son état à d'autres instants que c'en est surprenant. Le choix que fait Juno, qui est de garder l'enfant jusqu'à l'accouchement pour ensuite le vendre à un couple en mal d'enfant, nous situe bien dès le début dans l'optique d'un personnage innatendu et haut-en-couleur, ce qui ne manquera pas de s'avérer vrai !

 

               La réalisation aussi est réussie ! Les couleurs vives nous plongent dans un univers ne se voulant pas des plus réalistes, mais plutôt un univers où "les choses sont possibles". Sinon comment le scénario aurait pu paraitre plausible ? Le père de Juno (interprété par J.K Simmons) ne semble pas véritablement choqué d'apprendre que sa fille de 16 ans est enceinte, ne lui fait aucune leçon et se propose simplement de l'aider pour son adoption, naturel quoi... La proximité immédiate et le lien qui se crée entre le futur père adoptif (joué par Jason Bateman) et Juno, sans complexes ni aucunes gênes, semblent aussi totalement demesurés compte tenu de la situation. Néanmoins cette relation qu'ils entretiennent est primordiale pour la suite du scénario, alors mieux vaut laisser le scénario et les personnages comme ils sont et faire évoluer plutôt leur environnement, je trouve ?

 

 

 

 

               Alors finalement qu'est ce qu'il manque à cette comédie dramatique à la fois "décontracte" et engagée (sur le thème de la grossesse adolescente) ? Peut-être un brin de folie. Peut-être qu'on ne s'envole pas assez haut. Peut-être que l'on plane simplement pendant une heure et demie, mais que finalement, à l'heure de remonter une dernière fois pour un saut ultime, on atterit simplement en douceur. Comme si l'histoire se terminait trop tôt, ou simplement n'atteignait à aucun moment les sommets que l'on appercevait pourtant de plus en plus au fil des minutes !

Il aurait fallu pour cela peut-être, à mon avis, une scène en plus. Une scène qui aurait mis fin à tous les tracas, à toutes les intrigues. Une scène tonitruante qui nous aurait conduit beaucoup plus haut que la fin de ce film, qui est tout de même une fin très plaisante (!), le personnage de Paulie (meilleur ami de Juno et père de son enfant, joué par Michael Cera) prenant d'ailleurs alors beaucoup plus de sens. Mais avec un film pareil, on pouvait quand même attendre mieux. Des fois une scène peut faire la différence...

Mais même sans cette "scène hypoyhétique", finalement ce film d'une grande douceur suffit à changer une journée morose, en une douce après-midi agréable voire enchantante, pour ceux qui apprécieront le plus (qui pourrait ne pas aimer ?). Et finalement c'est un peu pour ça qu'on aime le cinéma, c'est d'abord un passe-temps communicatif.

 

Note personnelle :

TOTAL (/20) 15
Originalité / Scénario (/5) 4
Acteurs / Interprétation (/5) 4
Message véhiculé / Thèmes / Ambiance (/5)
3
Photographie (décors, images, musique...) (/5) 4

 

Bande-annonce :


 
Partager cet article
Repost0
6 mai 2012 7 06 /05 /mai /2012 16:35

Et voici donc un article sur L'arnacoeur que je viens de finir de visionner pour la première fois !...

 

 

              

Fiche technique :

Réalisateur : Pascal Chaumeil .

Avec : Romain Durris, Vanessa Paradis, François Damiens, Julie Ferrier.

Genre : Comédie / Romance

Sortie : 2010

Durée : 1h45

Nationalité : Fraais

 

 

 Synopsis :

Votre fille sort avec un sale type ? Votre soeur s'est enlisée dans une relation passionnelle destructrice ? Aujourd'hui, il existe une solution radicale, elle s'appelle Alex. Son métier : briseur de couple professionnel. Sa méthode : la séduction. Sa mission : transformer n'importe quel petit ami en ex. Mais Alex a une éthique, il ne s'attaque qu'aux couples dont la femme est malheureuse.
Alors pourquoi
accepter de briser un couple épanoui de riches trentenaires qui se marie dans une semaine ?

 

 

Critique personnelle :

                   L'Arnacoeur est une comédie française de Pascal Chaumeil en 2010 avec comme acteur principal Romain Durris... Voilà je viens de rendre inutile ma partie "Fiche technique", je peux commencer.

                   Le scénariste Laurent Zeitoun a eu l'idée de L'Arnacoeur suite à une histoire au sein de sa famille : "Ma cousine germaine était amoureuse d'un garçon méprisable qui la rendait malheureuse. Il avait fait tatouer le prénom de son ex sur son bras et clamait qu'il l'aimait encore ! [Mon oncle] m'a dit : "Il faut lui présenter un mec bien qui lui ouvrira les yeux." En rigolant, je lui ai répondu : "Paie un comédien de la ligue d'improvisation et explique-lui ce qu'aime ta fille !" (...)L'idée du métier de briseur de couples vient de là !"  Comme quoi ce film vient de loin !

                   Le réalisateur n'est pas un réalisateur de renom, à part 1 ou 2 séries comme "L'engrenage" pas grand chose à signaler.. à vrai dire ce film est son premier long métrage et est son seul vrai grand succès à ce jour, avec tout de même presque 4 millions d'entrées dans les salles française !

                   Romain Durris est comme à son habitude excellent dans son rôle de séducteur de femme, son humour fait toujours mouche et il a par ailleurs l'occasion par ce film de nous dévoiler ses talents de danse. Le duo comique du film constitué de François Damiens et Julie Ferrier permet des changements d'ambiance, ce qui évite de s'enfoncer dans du romantisme cul-cul et d'avoir droit à quelques éclats de rire durant le film, donc un bon point pour ces deux acteurs que je trouve  pour ma part aussi délirants l'un que l'autre. Vanessa Paradis fait quant à elle une prestation sympathique mais sans plus.

                    Les scènes défilent et ne se ressemblent pas, on ne s"ennuie pas une minute et on alterne tout le temps entre rires et larmes. Néanmoins le déroulement du film dans son intégralité reste assez prévisible, comment ne pas se douter qu'il va tomber amoureux (désolé pour l'info) ? Et bizarrement on s'attend à une happy end dès le début .

                   Vous aurez compris que ce film n'est pas à voir pour ses décors, ses images, sa musique ou ses effets spéciaux, mais bien pour son scénario, ses dialogues, son comique et ses acteurs.

 

Ce n'est pas pour rien que ce film a été reconnu par ses paires en étant nominé dans 5 compétitions différentes aux Césars : Meilleur film français, meilleur acteur (Durris), meilleur acteur dans un second role (Damiens), meilleur actrice dans un second rôle (Ferrier), et meilleur premier film (Pascal Chaumeil).

 

NOTE : 4/5

 

Bande-annonce :  http://www.youtube.com/watch?v=TcsbtIUlfvA

Partager cet article
Repost0
17 avril 2012 2 17 /04 /avril /2012 21:48

Petite présentation et critique personelle du film Carnage que je viens de visionner.

 images-copie-1

Synopsis:

Dans un jardin public, deux enfants de 11 ans se bagarrent et se blessent. Les parents de la "victime" demandent à s'expliquer avec les parents du "coupable". Rapidement, les échanges cordiaux cèdent le pas à l'affrontement. Où s'arrêtera le carnage ?

 

Fiche technique:

Réalisateur: Roman Polanski.

Avec: Kate Winslet, Christoph Waltz, Jodie Foster, John C.Reilly.

Nationalité: Français, polonais, espagnol et allemand.

Durée: 1h20.

Date de sortie: 7 décembre 2011.

 

Critique personelle:

           N'étant pas un fin connaisseur de ce grand réalisateur qu'est Polanski (je n'ai vu de lui qu'Oliver Twist et Rosemarys' Baby), je serais bien incapable de dire si dans ce film on retrouve la "patte du réalisateur" ou des thèmes récurrents de Polanski... Sorry (mais lisez quand même l'article hein ?...Svp... Eh oh ?... Y'a encore quelqu'un ?...Bon.).

Il faut savoir que ce film était au départ une pièce de théatre de Yasmina Rezza que Polanski a donc adapté pour le grand écran, ce qui implique beaucoup de choses : -Acteurs très expressifs voire carricaturaux.

-Modification du scénario pour l'adaptation.

-Les scènes sont très longues, il faut donc que les acteurs jouent très bien durant très longtemps à chauqe fois, la moindre erreur forçant à tous recommencer.

-Un film qui ne se passe QUE dans UNE pièce ce qui est très rare mais qui s'oublie totalement lors du visionnage tant le celui-ci est captivant.

-Polanski fait également le choix de ne pas utiliser de musique, on fait ainsi mieux le rapprochement avec une pièce de théatre.

 

           Et c'est bel et bien dans une pièce de théatre que l'on est plongé par des acteurs renversants ! On connaissait le fantastique jeu d'acteur de Christoph Waltz (Ici Alan Cowan) dans Inglorious Basterds en tant que le Colonel SS Landa ("Un verre de lait Monsieur Lapadite !"), dans ce film il confirme son arrivée dans la cour des grands avec une prestation de haute voltige. Très juste dans son rôle d'avocat égocentrique qui ne se soucie pas des problèmes du quotidien qu'il juge "futile" car empreint d'une "vision du monde des plus capitalistes". Il ne respecte rien, ne fait preuve d'aucune politesse mais est au contraire d'une attitude hautaine envers ses hôtes... Bref c'est encore Waltz qui se tape le rôle du méchant quoi !... Mais en même temps il y arrive tellement bien...

Les trois autres personnages ont eux aussi des caractères très déterminés, carricaturaux même. Il y a :

Nancy Cowan (Kate Winslet) : la femme raffinée mais autoritaire.

Penelope Longstreet (Judie Foster) : L'humaniste, l'indignée.

Mickael Longstreet (John.C.Reilly) : Le conciliant,qui essaye d'être gentil avec tous le monde et de reconcilier le peuple.

(Waltz alias Alan Cowan étant donc le salaud)

... Vous vous doutez bien que la réunion de 4 personnes de caractères aussi diamétralement opposés dans la mêe pièce va donner un joli... CARNAGE !

Et on sent bien la tension ambiante dans ce petit appartement New-Yorkais qui monte petit à petit, les "pics" qu'ils se lancent entre eux de manière quasi-subliminale au début, débordant de mépris à la fin !

Ainsi tout ce petit monde maintient un comique de situation omniprésent, chaque scène enfonçant un peu plus la situation dans la frustration jusqu'à l'explosion finale ou tous part en c... cacahuète !!

Mais plus qu'une comédie dramatique ce film est aussi à sa manière philosophique. On voit une rencontre/un conflit entre les différentes philosophies de vie existantes dans les sociétés occidentales (cf les scènes où ils parlent de la misère en Afrique) , allant de la générosité humaniste (Penelope) au désintérêt le plus total pour tout ce qui ne nous touche pas (Alan). Les visions de la vie optimistes ou pessimistes des uns et des autres se rencontrent dans un fracas tonitruant à travers ce film/pièce que je considère déjà à titre personnel comme l'une de mes comédies favoris !

 

Seul bémol... ça ne dure que 1h20... On en redemande !

 

Autre bémol... Ah non désolé j'en ai pas trouvé...

 

 

 19796503 jpg-r 160 240-b 1 D6D6D6-f jpg-q x-201108-copie-2

Partager cet article
Repost0